Les compléments alimentaires sont présents afin de combler les apports alimentaires afin de soutenir dans la correction de quelques carences. Plusieurs sur le marché, ils sont commercialisés sous divers aspects. Ils se différencient des médicaments et de la nourriture et sont à prendre avec prudence. Mais quelle est la différence entre médicaments et compléments alimentaires ?

Description d’un complément alimentaire

Un complément alimentaire n’est pas classifié comme nourriture. Il s’agit d’un produit préparé, qui est composé d’une ou de nombreuses substances, dédié à être consommé en complément du repas.

Ils ne doivent pas être mélangés avec des médocs ni des produits destinés à l’utilisation des sportifs. Sans oublier quelques produits pour le fitness. Ils sont habituellement créés afin de perfectionner le confort :

Les compléments alimentaires sont composés d’une ou de nombreuses substances mélangées dans un aspect particulier. Les substances permises dans les compléments alimentaires sont imposées par un décret de 2006. C’est majoritairement  quelques nutriments (minéraux et vitamines), quelques substances à objectif physiologique ou nutritionnel comme les acides aminés, etc.

Les compléments alimentaires sont vendus sous divers aspects : comprimés, gommes, gélules, solutions à boire, ampoules buvables, poudres à diluer… Ils peuvent alors être pris en fonction du cas de chacun. Un individu ayant de la difficulté à consommer des gélules, va choisir des compléments alimentaires sous aspect liquide.

Un complément alimentaire ne peut demander d’impact(s) thérapeutique(s)

Un complément alimentaire est créé afin de procurer un apport de quelques composants à l’organisme. Il respecte des règles à propos des doses maximales à prendre pour quelques substances comme les vitamines. Sans oublier sa composition (vitamines, extraits de plantes, minéraux…

Un complément alimentaire ne subit nul test d’innocuité ou de praticité. Il n’a nulle autorisation spécifique d’usage dans des situations bien concises.

Respectant la formule du produit, le producteur représente le seul responsable de fournir l’information au public. Et ce, sur les cas dans lesquels le complément alimentaire peut être pris. Ces informations ne concernent pas les situations d’usage encadrées, telles que pour le médoc. C’est pour cette raison que des affirmations de santé sont évoquées et dont le nombre est limité.

La liste des déclarations de santé utilisables est imposée par un règlement européen, présentée sur le site de la Commission européenne. Les principales affirmations de santé sur le marché français sont rattachées à la digestion, au sommeil et à la vitalité (tonus, épuisement…).

Les compléments alimentaires sont commercialisés en vente libre, et à peu près 20% sont exposés en vente en ligne.

Un médoc dispose d’un impact thérapeutique

Un médoc est créé pour rectifier ou soigner les symptômes d’un ou de nombreux maux. Afin de disposer du droit d’être vendu, il doit avoir justifié sa praticité contre le ou les maux concernés. Par ailleurs, un médoc doit aussi avoir justifié son innocuité, et ses effets néfastes sont analysés et contrôlés tout au long de sa vente.

Alors, un médoc, ne peut être employé que dans un ou quelques situations bien concises pour lesquelles il a obtenu une autorisation. Et ce, qu’il existe sur ordonnance ou en automédication. En France, il est constamment commercialisé en pharmacie.