Un critère de qualité représente une donnée chiffrée. Cette dernière est obtenue suite à une étude portant sur un composant spécifique constitutif du miel, ainsi un indice objectif. Celui-ci affirme la conformité du miel à l’appellation miel comme décrite dans le décret du 30.06.2003. Mais quel est d’après vous le critère le plus essentiel afin de décrire la qualité d’un miel ?

La teneur en eau

Il s’agit du critère le plus important parce qu’il assure la conservation du miel. La fermentation assure la dégradation irrémédiable d’un miel. Les miels comprennent entre 14 et 25 % d’eau. Ne peuvent être appelés « miel » que les produits qui comprennent au maximum 20 % d’eau, selon le décret du 30.06.2003. Dans le passé, c’était 21 %. Un miel paraît d’autant plus vulnérable que quand sa teneur en eau est importante et au-delà de 18 %.

L’accroissement des levures n’est pas freiné. C’est pour cette raison que ce pourcentage de 18 % a été gardé dans le cahier des charges. Et ce, pour la charte de qualité. Par ailleurs, la teneur en eau maximale acceptée paraît de 18 %. Cela se passe dans l’ensemble des concours où il est question de prioriser des miels haut de gamme.

La maîtrise de la teneur en eau

La place du rucher paraît très essentielle. Nul ne déclare que 90 % de la clé de la teneur en eau du miel se situe au rucher. Un autre élément très essentiel dans la maîtrise de la teneur en eau paraît la phase de l’extraction. Si vous êtes à la recherche de miel d’Euphorbe du Yémen, n’hésitez pas à consulter la boutique en ligne Miel et Vertus !

L’extracteur dont la création est apparue au milieu du XIXe siècle a bouleversé l’apiculture. Cette dernière a réellement participé au perfectionnement de la qualité du miel. Or, le petit bémol est qu’il entraîne la pénétration de l’air dans le miel et aussi de l’humidité. Cela se produit quand l’extraction se réalise à l’intérieur d’un local à hygrométrie élevée.

Au moment de l’extraction, le miel est éjecté sur les parois sous l’aspect de micro-goutelettes. L’aire en contact avec l’air est ainsi considérée comme très essentielle. 1 kg de miel correspond à une sphère de 11 cm de diamètre dont l’aire est de 3.80 dm2. C’est l’équivalent d’une feuille de 20 cm sur 20 cm, tout juste.

L’évaluation de ce paramètre

La mesure s’effectue grâce à un réfractomètre. Le « GAF » et « « l’Abeille du Forez » en détient chacun un qu’ils mettent à la portée de leurs membres. Faites un prélèvement du miel dans une cellule en le secouant un peu. L’aire paraît généralement plus imbibée (c’est pareil qu’un maturateur par ailleurs). Le miel operculé possède quelquefois une teneur au-delà de 18 %.

Penser que l’abeille l’opercule le miel que lorsqu’il atteint sa maturité paraît une erreur. En effet, son hygrométrie reste toujours en bas de 18 %. Elle ne rencontre pas les soucis de conservation du miel que rencontre l’apiculteur. Énormément de levures responsables de la fermentation sont issues de l’apiculteur, de la miellerie, des hausses, du matériel spécifique.